Les moyens existent puisque, sur les quatre dernières années, 180 millions d'euros ont été consacrés au dernier plan de développement des soins palliatifs.
On peut invoquer des lois datant d'avant le XXI
Nous devons la vérité aux Français : la volonté financière est là, mais nous devons réfléchir avec l'ensemble des professionnels aux formations, aux carrières longues, aux possibilités d'évolution et à l'emploi.
S'agissant des maisons d'accompagnement, nous y reviendrons à l'article 2. Je le répète, il s'agit de domiciles. C'est donc à ce titre que les patients pourraient y bénéficier d'un accompagnement pour l'aide à mourir. Cependant, les soins d'accompagnement ne concernent en aucun cas l'aide à mourir.