Il n'y a pas de confusion de notre part ; la confusion, elle est chez vous !
En outre, notre collègue Violland a précisé – cela avait au moins le mérite de l'honnêteté – que les soins d'accompagnement permettront d'accompagner différemment le patient, notamment dans la perspective d'une aide à mourir. Personne ne l'a contredite au sein de la majorité, ni sur les bancs du Gouvernement. C'est pourtant bien un assouplissement de l'aide à mourir !
Madame la ministre, je répète donc ma question car nous avons besoin d'une réponse claire.