Je n'ai rien annoncé de particulièrement nouveau par rapport à ce que j'ai dit en commission.
C'est effectivement parce qu'elles sont considérées comme des domiciles que l'aide à mourir pourra être pratiquée dans les maisons d'accompagnement – nous y viendrons à l'article 2.
Quant à l'article 1er , s'il fait consensus sur au moins un point dans l'hémicycle, c'est parce qu'il reconnaît l'engagement de celles et ceux qui pratiquent les soins palliatifs. Vouloir le supprimer au motif de rejeter les soins d'accompagnement, c'est se priver d'une grande partie des mesures consacrées aux soins palliatifs.