La production du chauffage urbain est en effet assurée à hauteur de 10 % par des énergies vertes. Les déchets incinérés représentent quant à eux 40 %. Même si les énergies renouvelables participent davantage au chauffage urbain, le coefficient d'émission de GES par ce dernier reste plus élevé que celui du réseau d'énergie électrique ou du réseau de froid urbain.