Par ailleurs, je tiens à dire avec gravité, avec solennité, que le dispositif proposé par nos collègues est à droit constant : il n'est pas nécessaire de modifier la Constitution pour freiner des logiques spéculatives. Or Dieu sait si nos collègues demandent, depuis plusieurs années, des modifications de la Constitution pour enrayer ces mécanismes. Démontrons donc que, dans le cadre des lois en vigueur, nous sommes capables de lutter contre ce fléau qu'est la spéculation immobilière – en Corse, certes, mais pas seulement : dans l'ensemble du territoire. À titre personnel, je voterai ces amendements et j'appelle ceux qui veulent en finir avec ce phénomène à en faire autant.