Des aspects du texte ont certes été modifiés, mais cet article est extrêmement clair.
Il est mis fin à la procédure si la personne informe le médecin mentionné à l'article 7, ou le médecin ou l'infirmier chargé de l'accompagner, qu'elle renonce à l'aide à mourir. Cette rédaction est suffisamment large et la personne n'a pas à exposer ses raisons.
Il faut conserver cet esprit de liberté, tant pour accéder à l'aide à mourir que pour y renoncer. Tel est le sens de cet article.