Quel que soit le mode d'administration, on n'a pas le droit à l'erreur. En cas d'échec, il faudrait peut-être même réanimer le malade, ce qui l'engagerait de nouveau dans des processus longs et difficiles. La présence d'un professionnel de santé au moment de l'acte est indispensable, comme le prévoit l'amendement CS1570.