Nous changeons en effet de paradigme. J'ai la grande crainte qu'en se plaçant du point de l'individu et de sa liberté individuelle, nous n'ouvrions la porte à des revendications individuelles et non à une protection collective. Veillons à ce que les verrous que nous nous attachons à poser ne sautent pas. Ayons conscience que nous ouvrons un droit qui modifie profondément le sens que nous donnons à l'accompagnement des personnes plus vulnérables.