Il me revient à l'esprit la phrase de Mauriac : « L'épreuve ne tourne jamais vers nous le visage que nous attendions. » Je ne m'attendais pas à un tel débat sur la personne volontaire. C'est une question qui cristallise bien des interrogations éthiques, car on sort de la sphère médicale pour entrer dans une sphère privée où tout devient possible – pressions, mais aussi conséquences psychologiques pour l'entourage.
Ce débat nous invite à nous demander s'il faut conserver cette disposition.