Le point central, c'est la notion du choix : nous n'imposons rien. La règle, c'est que le patient s'administre lui-même le produit. S'il ne le peut pas, alors il a le choix de demander cet acte au personnel médical ou paramédical, ou bien à quelqu'un d'autre. Je suis sensible aux propos de M. Guedj : c'est un choix très lourd. Mais si le patient veut confier cette responsabilité à un proche, pourquoi ne pas respecter son choix ?
Ils ne seront pas seuls, évidemment : un professionnel médical ou paramédical sera toujours présent.