Ne pourrait-on pas faire plus simple et s'en tenir au fait que les objets dangereux sont interdits dans les transports ? Ce serait préférable, même si nous apprécions vos efforts louables pour resserrer un dispositif qui, sinon, n'aurait pas de sens. Qui va retenir les objets saisis pendant quarante-huit heures ? Est-ce le service des objets trouvés ? Ce serait un drôle d'endroit pour entreposer des objets dangereux. Quant à l'idée de solliciter le ministère public, déjà débordé… On se demande comment ce sera possible sur le plan pratique. En outre, il reste un problème de principe car, malgré les restrictions apportées, ce dispositif permet de saisir un peu trop de choses.