L'amendement vise à instaurer une obligation de formation à la non-discrimination pour les agents de sûreté.
Nous avons évoqué rapidement le caractère intrusif, parfois humiliant pour certains, des palpations de sécurité, lequel justifie la possibilité de choisir la personne qui y procède mais aussi l'exigence d'une formation solide des agents.
Je reviens sur votre refus d'exclure les objets pouvant porter atteinte à des biens. Plus rien ne s'oppose ainsi aux palpations. Nous possédons tous dans nos sacs des objets qui pourraient par destination dégrader des biens – un marqueur par exemple. La formation est indispensable pour se prémunir contre les abus que le texte ne manquera pas de provoquer.