On peut s'interroger sur la proportionnalité de la mesure. Quels éléments objectifs peuvent amener à penser qu'une personne détient des objets susceptibles de présenter un risque ? En outre, vous faites fi des armes par destination : une chaussure à talons peut en être une. Les agents vont être très occupés s'ils doivent demander – la tâche sera délicate – aux personnes qui portent des chaussures à talons de les retirer.
Je voulais vous faire sourire, mais le cadre juridique doit être suffisamment précis pour écarter les logiques liberticides.