Avis défavorable. Les amendements de suppression de l'article visaient à maintenir le statu quo. Là vous proposez un recul puisque vous supprimez purement et simplement les palpations de sécurité, qu'elles fassent l'objet d'une autorisation préfectorale ou pas. Vous suggérez de priver de cette prérogative 4 500 agents de la Suge et du GPSR ainsi que plusieurs centaines d'employés d'opérateurs dans d'autres villes. Je ne peux pas laisser dire que ces activités sont déléguées ou, pour reprendre vos termes, données au privé. Le travail de ces agents ne s'inscrit pas dans un cadre de sécurité privée ordinaire.