Un APE est en cours de discussion. Dès que je le peux, je demande au ministre des outre-mer ou au ministre de l'agriculture de veiller à avoir un regard pertinent sur ce qui est en train de se faire. Au vu de ce qui se passe dans d'autres territoires, je crois que nous sommes plutôt écoutés, puisque le Président de la République lui-même regarde d'un œil attentif les accords en cours sur d'autres continents. Mais nous ne pouvons que tirer la sonnette d'alarme : il faut un relais derrière. Nous sommes entendus du Gouvernement, mais comme c'est la Commission européenne qui s'exprime jusqu'à l'accord final, dont l'approbation est soumise à la France, nous n'avons pas de visibilité.