L'objectif national de dépenses d'assurance maladie fixe, depuis 1996, un plafond à ne pas dépasser. Vous dites défendre un traitement des questions de santé qui ne soit pas inféodé à des règles comptables et budgétaires. À ce titre, pourquoi n'avez-vous pas réformé l'Ondam, éventuellement en lui attribuant des objectifs plus ambitieux ? Cela aurait contribué à éviter que certains hôpitaux connaissent les déficits qui sont les leurs actuellement.