J'ajouterai seulement à l'argumentaire de mon collègue qu'il s'agit, en libérant des biens, de favoriser l'installation de jeunes exploitants. Vous n'ignorez pas quel défi générationnel la profession doit relever : un agriculteur sur deux a plus de 50 ans. De ces installations dépendent beaucoup d'emplois, mais aussi la souveraineté alimentaire de notre pays : il nous faut retrouver nos capacités de production.