Le volontariat est très dépendant de l'activité économique du secteur. Dans les secteurs agricoles qui comptent de nombreuses fermes, il est plus facile de négocier la disponibilité du pompier volontaire. C'est souvent plus complexe dans les secteurs par exemple frontaliers, quand les citoyens travaillent dans un autre pays.
Historiquement, le sapeur-pompier volontaire donnait une semaine d'astreinte complète. Cette situation est révolue, car il est obligé de s'adapter à son activité professionnelle. Nous ne rencontrons pas des faiblesses uniquement en journée, mais également parfois pendant les week-ends parce que la nouvelle génération a d'autres contraintes que la contrainte professionnelle et elle souhaite aussi profiter d'un peu plus de temps de disponibilité et ne le rend pas toujours au service.