Jeudi 9 mai, journée de l'Europe, le relais de la flamme olympique sur le territoire français a débuté. Vingt-sept athlètes, représentant chacun un pays de l'UE, ont entouré l'athlète ukrainienne dans le cadre d'un relais collectif. Ce dernier a illustré de manière symbolique l'attachement de la France aux valeurs communes européennes, la solidarité de l'UE envers l'Ukraine et notre souhait de faire rayonner la France et l'Europe, avec la présence inédite du drapeau européen sur les sites olympiques et paralympiques. Dans un peu plus de deux mois, les yeux du monde entier seront rivés sur la France, première destination touristique mondiale, qui accueillera entre le 26 juillet et le 8 septembre les Jeux olympiques et paralympiques.
L'intérêt est toujours plus fort pour notre pays, notre culture, notre histoire, notre langue, au moment où nous organisons la plus importante compétition sportive au monde. La France s'illustre aussi dans les domaines diplomatique et économique : malgré un contexte international tendu, marqué par des tensions géopolitiques fortes, des tendances inflationnistes à l'échelle mondiale et de multiples ruptures en cours, la France conserve pour la cinquième année consécutive son titre de championne d'Europe de l'attractivité. Par l'action du Gouvernement, notre pays a su bénéficier des réformes accomplies, du rattrapage d'investissements qui n'avaient pas été réalisés pendant plusieurs décennies et de leurs retombées concrètes pour notre économie et nos territoires. En nous appuyant sur l'un des réseaux diplomatiques les plus importants au monde, nous avons réussi à nouer des partenariats durables et équilibrés, tout en respectant nos ambitions écologiques et technologiques et nous avons su renforcer la compétitivité française à l'échelle mondiale.
Malgré ces résultats qui auraient été inespérés il y a sept ans, certains ne cessent de dénigrer les réformes entreprises par notre pays. Pourtant, le dernier sommet Choose France a démontré une nouvelle fois l'attractivité de notre pays à l'international. Pouvez-vous revenir sur le bilan de la septième édition de ce sommet ?