vous a conduit, au début de nos débats, à me traiter comme une affreuse parce que je défendais la cohabitation. Nul ne prétend qu'elle est facile. En tant que députée de la Drôme, je sais la douleur, le sentiment d'impuissance et d'abandon face à cet enjeu. Mais jamais la démagogie crasse, qui n'aide personne, ne réglera cette question. Monsieur le ministre, quand on ne défend pas l'éradication totale du loup, on défend bien la cohabitation.