Compte tenu de la famille politique à laquelle j'appartiens – vous y avez fait référence, monsieur Potier –, je préférerais que nous essayions de pacifier la situation. Mais certaines personnes ne le souhaitent pas, elles veulent juste avoir raison à tout prix. De nombreux agriculteurs, qui s'étaient lancés de bonne foi dans un processus démocratique, finissent par avoir le sentiment que l'on cherche à tuer le projet. Ne soyons donc pas hypocrites : c'est oui ou c'est non, mais en évitant les fausses concertations qui n'aboutissent à rien, nous ferons gagner du temps à tout le monde.