Il s'agit d'inverser les obligations de l'administration et du demandeur. Ayant davantage de moyens, l'administration doit être au service des agriculteurs, et non l'inverse. Cet amendement vise à assouplir l'obligation, imposée au demandeur, de solliciter un conseil préalable. En revanche, l'administration devrait prévoir que le demandeur puisse obtenir un tel conseil.