Le présent amendement suggère une première rédaction du droit à l'erreur. Plusieurs collègues ont repris cette formulation, qui est soumise à l'Assemblée nationale, et j'en proposerai d'autres dans la suite de la discussion. Pour préciser les propos que j'ai tenus dans mon intervention sur l'article 13 bis, le droit à l'erreur a été consacré par la loi du 10 août 2018 pour un État au service d'une société de confiance, dite loi Essoc – le Président de la République l'a rappelé. Un certain nombre de dérogations sont néanmoins prévues, qui empêchent les agriculteurs d'en bénéficier au même titre que tous les autres Français. C'est pourquoi il faut revenir sur ces exceptions en adoptant une nouvelle rédaction.