En tant qu'élus de la nation, nous pouvons tout à fait fixer des objectifs dans la loi. En l'occurrence, nous proposons d'inscrire le principe général d'une part minimale de terrains devant être adaptés à l'agriculture urbaine et périurbaine mais de renvoyer à un décret l'établissement du taux lui-même. Par ailleurs, pour concrétiser les projets alimentaires territoriaux que prévoit le projet de loi, les communes et les intercommunalités ont besoin de terres agricoles.