Premièrement, permettez-moi de répondre à la fois à M. le ministre et à Mme Anne-Laure Blin : oui, nous avons discuté avec des centaines d'agriculteurs ; oui, plusieurs d'entre nous ont visité et étudié des milliers d'exploitations agricoles.
Vous travestissez le message des agriculteurs : si ces derniers ont la peur au ventre, comme vous le dites, ce n'est pas à cause des contrôles environnementaux, mais tout simplement parce qu'ils ne savent pas s'ils percevront un revenu l'année prochaine !