En outre, et je sais que cela fera l'objet de débats, nous souhaitons favoriser une bonne appropriation de la réglementation environnementale par les agriculteurs en prévoyant une nouvelle mesure administrative. Il s'agira de la réparation, quand elle est possible – ainsi, si un habitat dégradé peut être restauré –, ou de mesures pédagogiques – d'aucuns proposent aussi des sanctions financières.
Nous n'organisons pas la révolution, mais souhaitons simplement qu'un agriculteur ne soit plus menacé de garde à vue, d'une amende de 300 000 à 500 000 euros et de trois à cinq ans de prison quand il ne sait pas s'il travaille à côté d'un fossé ou d'un cours d'eau.
Nous continuons à protéger l'environnement, les espèces et les habitats