Ces amendements soulèvent une question difficile pour nos agriculteurs. Je pense notamment à la détresse d'une jeune agricultrice dont le cheptel a dû être abattu. Elle se plaint d'être restée de longs mois sans réponse des services administratifs. Il s'agit d'un signal d'alerte. Les services administratifs doivent accompagner nos éleveurs lorsqu'ils se trouvent dans une situation de fragilité qui leur coûte ;