On ne peut élaborer une loi visant à empêcher la disparition des agriculteurs – un autre texte pourrait concerner les commerces – tout en appelant à laisser faire le marché. Si on laisse faire le marché, je vous garantis que nous perdrons 200 000 agriculteurs : je ne crois pas que ce soit votre souhait.
Ce n'est certes pas naturel, mais ce n'est pas non plus de la coercition, monsieur Lamirault : personne n'oblige qui que ce soit à faire quoi que ce soit ! Mais si nous sommes incapables d'anticiper, d'informer, de promouvoir le portage du foncier…