Pour ce qui est des revenus, il est vrai qu'un agriculteur installé, qui dispose de moyens, est plus favorisé qu'un agriculteur en début de carrière, qui n'a pas accumulé de capital.
Monsieur Lamirault, si nous suivions votre logique, il faudrait laisser faire. J'ai été élu local et président d'une communauté de communes : j'ai réinstallé un boucher dans un village de 700 habitants – ça ne doit pas être très courant – et je m'occupe désormais de sa transmission. Si je laissais faire, le commerce fermerait.