Il faut savoir distinguer ce qui est souhaitable, de la réalité – qui parfois exige l'exception. Que tout soit anticipé autant que possible, que tout le monde se prépare, est souhaitable. C'est la solution idéale mais il ne faut pas en faire une règle absolue. Il faut accepter les exceptions, sans qu'elles soient pénalisantes.
Je vais citer un exemple, celui d'une succession anticipée depuis plus de cinq ans. Un oncle qui cède à son neveu. Tout se prépare, tout s'organise mais, au dernier moment, le neveu renonce. Parce que c'est compliqué de s'engager pour la vie, parce qu'il a rencontré l'amour…