Comment le diagnostic s'inscrira-t-il dans le champ du développement de l'agriculture ? J'imagine qu'il s'insère dans le parcours d'installation et qu'il a vocation à être suivi par un conseil agronomique à caractère public, semi-public, ou parapublic, mais ce n'est pas très clair.
Par ailleurs, il est fondé sur le volontariat. Or, l'exemple du conseil stratégique est instructif : alors même qu'il était obligatoire, le ministère n'a atteint que 10 % de l'objectif prévu. Si le diagnostic est volontaire, ne vous attendez pas à une révolution. Est-ce que sa réalisation conditionnera une partie de la DJA, une partie des aides, une partie de l'accompagnement public ?