Monsieur le ministre délégué, monsieur le rapporteur général, vous avez pris beaucoup de temps pour gagner du temps, en nous expliquant pourquoi l'ISF, ce n'est pas bien. Mais c'est de l'ancienne ISF que vous parliez ! Vous vous êtes contentés de balayer d'un geste de la main notre proposition de prendre en compte la question climatique. Et pourquoi ? Parce que vous n'avez aucune réponse à celle-ci. Elle saute pourtant aux yeux.
Monsieur le ministre délégué, vous avez proféré des contre-vérités sur nos amendements. Ils sont tout à fait opérationnels, et prennent en compte la diversité des situations, grâce à un système d'abattements, car nous sommes des gens sérieux.