J'entends vos arguments, monsieur le ministre, mais la rédaction de l'article 3 pose problème. Si nous voulons des enseignements spécifiques, obligatoires, touchant la transition agroécologique et climatique ou l'agriculture biologique, afin d'y former le maximum de jeunes agriculteurs, nous devrions au moins définir ces concepts et ne pas y mettre tout et son contraire. Or les derniers mots de l'alinéa 13 gomment, si je puis dire, tout le reste ! Relisez-le : il y a un problème de formulation. Ce n'est ni dramatique ni dogmatique, mais il serait préférable de parvenir à une rédaction qui ait du sens – c'est quand même notre boulot !