Il faudrait que l'État soit plus et mieux présent et qu'il soit perçu comme moins enquiquinant. Cela permettrait de rétablir des relations plus paisibles entre les services de l'État et les acteurs du monde agricole et de la pêche, qui seraient ainsi mieux accompagnés. Cette relation de confiance est nécessaire. Nous sortirions alors du climat de défiance permanente.