Mes amendements débattus la semaine dernière étaient motivés par la volonté de sortir des déclarations de principe pour privilégier le concret et le réel – c'est ce qu'attendent les agriculteurs – en traitant des droits des agricultrices, notamment en matière d'accès à l'information, de rémunération et de services de remplacement. Si l'on suivait votre volonté d'introduire l'obligation d'égalité dans l'accès à la formation et l'obligation de mixité par la parité, il faudrait l'imposer pour toutes les formations délivrées dans notre pays : on ne s'en sortirait pas.