Je vous ai posé une question précise, monsieur le ministre, concernant la bonne poursuite des débats. Certains collègues, vous l'avez relevé vous-même, s'interrogent sur l'intérêt d'aller jusqu'au vote, puisque a priori, les oppositions ne voteront pas en faveur du projet de loi de finances. Depuis quand impose-t-on à des oppositions de dire qu'elles voteront pour le budget, pour avoir le droit de continuer à débattre ? C'est tout de même incroyable !