Vous m'interrogez sur les répercussions de la crise calédonienne sur Wallis-et-Futuna et je tiens à vous dire tout d'abord que la situation s'améliore en Nouvelle-Calédonie, bien qu'elle reste précaire. Cette amélioration, nous la devons bien évidemment à la mobilisation des services de l'État et des forces de sécurité intérieure, aux policiers et aux gendarmes. Je tiens d'ailleurs à rendre hommage au gendarme Molinari et à l'adjudant-chef Salou, qui ont perdu la vie dans les émeutes survenues en Nouvelle-Calédonie.