La demande d'aide à mourir, telle qu'elle est conçue dans ce projet de loi, devra faire l'objet d'un échange entre le médecin et son patient, au cours d'une rencontre qui marquera le début d'un parcours encadré et accompagné. L'oralité y tient une place très importante. La traçabilité de l'ensemble des échanges sera assurée, puisque la demande sera conservée dans un système d'information – en cela, elle sera bien formalisée de façon écrite.
Votre amendement est donc satisfait.