Madame Castel, vous avez posé des questions à mon sens essentielles : de quelle personne souhaite-t-on arrêter la souffrance ? Et comment s'assurer qu'aucune pression, qu'elle soit médicale, sociale ou morale, n'est exercée sur le demandeur ? Avez-vous abordé ces questions et quelles sont vos réponses ?