Intervention de Valérie Depadt

Réunion du mardi 23 avril 2024 à 21h00
Commission spéciale chargée d'examiner le projet de loi relatif à l'accompagnement des malades et de la fin de vie

Valérie Depadt, maître de conférences en droit privé, conseillère de l'Espace éthique Île-de-France :

Je répondrais à l'assertion de Régis Aubry que les directives anticipées ne constituent pas une demande, mais l'expression d'une volonté. Le temps n'efface pas ces directives anticipées, elles restent valables au-delà de la pleine capacité à s'exprimer, jusqu'à leur consultation. Dès lors, on ne saurait parler d'une « demande qui n'existe plus ».

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