Je suis porteur de deux messages sur les soins d'accompagnement. Le premier est qu'il faut absolument préserver la continuité de la prise en charge des malades, ce qui plaide en faveur de lits identifiés de soins palliatifs et des unités mobiles de soins palliatifs. Le second message est que les unités de soins palliatifs ne seront jamais en mesure de répondre à la demande sur le territoire national. C'est pourquoi il faut les structurer en réseau.
Concernant l'aide d'active à mourir, j'attire votre attention sur ses conditions de réalisation. Des difficultés concrètes peuvent survenir lors de l'administration du produit létal. Il convient de définir l'attitude que l'équipe soignante devra adopter en ces circonstances.