La surcharge administrative représente environ 84 milliards d'euros de perte de production dans notre pays, soit à peu près 3 % du PIB. Cela fragilise notre croissance et c'est une source de découragement pour nos entrepreneurs. Il est essentiel que les travaux menés ne se limitent pas à la loi, car un très grand nombre de contraintes administratives relèvent du domaine réglementaire. Quelle méthode de travail comptez-vous mettre en place pour les mesures de simplification par voie réglementaire, qui ne sont pas abordées dans le projet de loi mais sont nécessaires afin de réaliser des gains de temps et de compétitivité, d'apporter des réponses aux dirigeants d'entreprises, qui ont été largement consultés, et surtout de maintenir une relation de confiance entre l'administration et les entrepreneurs ?