Je prends acte de ce vote, mais le problème n'en reste pas moins entier. D'abord, il faut sécuriser les choses. C'est d'ailleurs ce que proposait l'amendement de réécriture du rapporteur général. Ensuite se pose la question de la régulation, évoquée par Monsieur Benoit, et singulièrement de sa gouvernance.
Certains d'entre vous, y compris parmi ceux qui ont voté pour la suppression de l'article, pensent que nous avons bel et bien besoin de fonds privés pour faire face au défi du renouvellement des générations. Je propose que l'on travaille à une rédaction qui s'appuie sur le travail de vos rapporteurs en reprenant les deux éléments soulevés par Monsieur Benoit. Cela nous permettrait d'avoir un débat un peu plus serein sur un sujet primordial pour l'agriculture.