C'est ce qu'on appelait les « Gaec à l'essai ». Cela existe depuis 1991 : ce n'est plus une expérimentation…
Il serait bon, Monsieur le ministre, d'inscrire dans ce texte le statut juridique du droit à l'essai, mais aussi le statut de ces jeunes qui ne sont ni apprentis, ni apprenants, mais qui bénéficient d'un tutorat. Je regrette que cette loi d'orientation n'ouvre pas de perspectives. Depuis mardi, nous passons notre temps à réécrire des articles, à débattre de dispositions mal emmanchées, mal préparées. Une loi d'orientation devrait donner des directions, notamment pour la jeunesse !