Si je peux souscrire à la première partie de votre démonstration, monsieur Guedj, il n'en va pas de même pour la seconde. J'ai assisté au démantèlement de la politique familiale entre 2012 et 2017 ; elle aussi a conduit à l'excédent actuel. On peut regretter qu'il n'y ait pas d'allocations familiales dès le premier enfant, mais tous ces débats, nous les avons déjà eus ici. Il n'y a rien de nouveau sous le soleil.
Je soutiens la position de la rapporteure générale.