L'idée est de déléguer certains actes, en limitant les dérogations. Les écoles vétérinaires, par nature, sont territorialisées. Nous voulons que chacune d'elles soit dotée de moyens supplémentaires pour atteindre l'objectif de 75 % de vétérinaires formés en plus. Enfin, cette majorité a posé la question du numerus clausus pour les médecins, comme pour les vétérinaires, qui commençaient à suivre une trajectoire identique, pour des raisons de même nature – une moindre consommation et la volonté de certains acteurs d'avoir moins de vétérinaires dans les territoires. Nous avons mené des expérimentations en Bourgogne-Franche-Comté pour déterminer comment le vétérinaire formé peut être arrimé territorialement. C'est sur cela que nous devrons travailler.