Monsieur le ministre, vous venez de reprocher à notre collègue Raux, dont l'amendement prévoyait un moratoire sur les fermetures de classe, d'être éloigné de la réalité. Nous sommes sans doute insuffisamment outillés sur le plan intellectuel, mais j'aimerais que vous nous éclairiez sur les raisons pour lesquelles une politique visant à décréter un moratoire sur les fermetures de classe et à créer des postes d'enseignants ne vous semble pas pertinente.