Pour moi, cela relève pleinement du rôle de l'école. Mme la rapporteure nous a dit que le code de l'éducation prévoit déjà une information à l'alimentation, mais, faute d'obligation horaire, les établissements, de plus en plus autonomes, en font rarement une priorité. C'est une vraie difficulté, de l'aveu même de la direction générale de l'enseignement scolaire (DGESCO). Il faut aller au-delà de l'information et proposer aux élèves un véritable apprentissage. Or, ce n'est pas ce qu'offrent les Semaines du goût sponsorisées par le Centre national interprofessionnel de l'économie laitière (Cniel) ou l'Association nationale des industries alimentaires (Ania).