Avis défavorable. L'effort de l'État en matière de recherche publique est très significatif, notamment dans le cadre de France 2030, qui y consacre plus d'un milliard d'euros. Par ailleurs, nous n'avons pas intérêt à opposer la recherche publique et la recherche privée, car nous avons besoin des deux pour avancer sur ces importantes questions agricoles.
Monsieur Jumel, je ne suis pas sûr qu'on enfile des perles lorsqu'on parle de référentiels de formation. En effet, toutes les lois agricoles ont, à un moment ou un autre, évoqué la formation. Ces dispositions ne visent évidemment pas les agriculteurs déjà installés, que nous retrouverons lorsqu'il sera question de clarification et de simplification dans le cadre de leur métier, mais ceux qui se dirigent vers les métiers de l'agriculture. Heureusement que nous avons changé les référentiels et défini des blocs de compétences. Ce n'est pas enfiler des perles que de faire œuvre utile pour les générations d'agriculteurs que nous devons former dans des domaines nouveaux.