Soyez conscient, monsieur le ministre, que nos campagnes grondent. Les services de l'État sont défaillants, car les logiciels ne sont pas déployés. Des problèmes informatiques empêchent le versement des aides. Certains agriculteurs se trouvent dans la plus grande détresse et attendent des dizaines de milliers d'euros. Vous ne pouvez pas prétendre que les services ont répondu à leurs demandes. Quant à l'amendement, j'y vois un bavardage législatif inutile : il est évident que l'État doit verser les aides avec diligence.